
La demeure abandonnée se dressait au dessus d’une colline, balayée par les vents glacés de Roumanie. Ses murs de pierre, rongés par les siècles, semblaient enfermer encore les murmures d’une temps désuète. Personne n’osait s’y aventurer, mais pour Adrian, un faible en disgrâce, cet abscisse représentait son dernier refuge. Chassé de son communauté derrière un confusion avec lequel il ne parlait jamais, il s’était installé dans cette domicile vide, cherchant à reconstruire la destinée loin du scandale de la cour. Mais beaucoup vite, il avait senti des attributs d’étrange dans ces villes. Une nuit, en recherchant un vieux cantine scellé par-dessous un superpositions de poussière, il avait trouvé un sport de tarot unique. Contrairement aux cartes traditionnels, celles-ci étaient entièrement nocives, dénuées d'arabesques existants. Intrigué, il avait passé une éternité à occasionner de discerner des allégories cachés, mais la surface lisse et obscure des cartes restait pénétrante. Ce fut seulement lorsqu’il fit un issu empoisonnement que tout bascula. Les cartes, qu’il croyait vierges, se couvrirent d’images mouvantes. Mais elles ne montraient pas le destin, ni des prophéties voilées notamment le suggéraient les rudiments de la voyance par mail. Ce qu’il vit dans ces illustrations le troubla très : elles représentaient des tribunes qu’il ne reconnaissait pas, des villes qu’il n’avait jamais visités et des figures qui lui étaient inconnus. Pourtant, il ressentait une étrange familiarité en les saisissant l'opportunité de suivre. Le battement de son cœur s’accéléra. Était-ce un jeu maudit, une relique oubliée, ou un artefact susceptible de révéler un passé qu’il ignorait ? Il savait que la voyance par mail avec photo pouvait quelquefois révéler des éléments cachés sur l’histoire d’une personne à travers des accessoires imprégnés d’énergie. Mais ici, il ne s’agissait pas de fragments de son passé… du moins, pas celui dont il avait mémoire. Un frisson le parcourut. Et si ces souvenirs n’étaient pas les siens ? Les cartes semblaient enfermer un passif qu’il n’avait jamais vécue, mais qui, d’une goût ou d’une autre, était attachée à lui. Il devait embrasser ce que ce tarot foncé tentait de lui présenter. Mais tout carte qu’il tirait le plongeait un doigt plus dans un abîme où truisme et effigies se confondaient dangereusement.
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